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Abraham Lincoln

Publié le

Le saviez-vous ?
On ne peut s’empêcher d’admirer l’œuvre immense d’Abraham Lincoln, président des États Unis, mai aussi son humilité, sa profonde sincérité, sa grande bonté, tous fruits de la grâce de Dieu en lui.

Le secret de sa force, le ressort de sa vie, se trouvait dans ses convictions religieuses inébranlable et dans son ferme attachement à la Bible, son livre de chevet.

Son travail l’absorbait du matin au soir, mais il ne permit jamais aux affaires même les plus urgentes de lui ravir les premiers instants de la journée qu’il consacrait à Dieu et à la lecture de la Bible.

« En la Lisant, notre âme est toujours rafraîchie, Notre cœur déchargé des plus rudes fardeaux.

C'est la source abondante où se puise la vie, Le fleuve de la grâce aux salutaires eaux »

Une foi forte en Dieu ne vient pas tout d'un coup.

On l'acquiert souvent en se soumettant volontairement à son amour et à sa bonté au milieu des épreuves.

En février 1862, le fils du président Lincoln, Willie, mourut, et son autre fils, Tad, tomba gravement malade.

Une infirmière chrétienne qui s'occupait de l'enfant malade raconta que le président veillait à son chevet et arpentait souvent la chambre en disant: «C'est la pire épreuve de toute ma vie. Pourquoi en est-il ainsi ? Pourquoi en est-il ainsi ?»

Elle lui dit qu'elle était veuve et que son mari et ses deux enfants étaient au ciel. Elle vit la main de Dieu et ne l'aima jamais autant qu'après ses grandes épreuves. » Comment cela se peut-il?» demanda Lincoln. « Simplement en faisant confiance à Dieu et en sachant qu'il fait bien toute chose», répondit-elle.

«Vous êtes-vous soumise entièrement à la volonté après le premier décès?» demanda-t-il. «Non, répondit-elle pas pleinement. Mais comme les épreuves succédaient aux épreuves, et que tout me fut enlevé je pus me soumettre.»

Lincoln répliqua: «Je suis content de vous entendre dire cela... J'essaierai de m'approcher de Dieu avec mes peines.» Quelques jours plus tard, elle lui demanda s'il pouvait faire confiance à Dieu.

Il répondit: «Je pense que je peux. J'essaierai. J'aimerais avoir cette foi enfantine dont vous avez parlé, et j'ai confiance que Dieu me la donnera.»
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